« J’observe le monde comme si je regardais les étoiles, et je vois auss les étoiles à travers le monde,
mes recherches commencent par une petite découverte et présent une perspective macroscopique, créant un contraste entre l’infinimen lointain et le proche. »
Daeseok An développe un environnement plastique complexe et poétiqu inspiré par les recherches scientifiques et cosmologique.
Il interroge l’origine de l’univers et les lois qui le régissent et dessin une trajectoire pour trouver un lien entre les humains et leurs origines avec le regard d’un enfant chassant la voûte étoilée.
Son principal intérêt réside dans la combinaison de cette perspective cosmique avec l’expérience personnelle et l’imagination pour crée des histoires tridimensionnelles et multicouches.
Sa démarche s’apparente au processus de création de la science-fiction.
Ce qui est intéressant dans la science-fiction, c’est qu’elle reflète complexe par le biais de l’imagination.
Cependant, parfois, dans l’environnement particulier du mond microscopique ou dans l’immensité de l’univers, les concepts physiques qui transcendent le temps, l’espace et les dimensions semblent très irréalistes.
En conséquence, un sentiment de décalage naît de la vague frontière entre réalité et irréalité. L’artiste estime que ce sentiment de décalage donne naissance à des émotions poétiques complexes.
Pour illustrer cette perspective, l’artiste utilise un équipement optique comme matériau pour des tirages photographiques ou des projections d’images.
La lentille devient un médium qui nous relie au monde microscopique, créant un contraste entre ce qui est infiniment lointain et ce qui est proche.
Lors de l’observation d’objets astronomiques, l’artiste considère l’expérience momentanée de connexion personnelle avec l’univers plus importante que la découverte de beaux corps célestes.
Les images actuellement produites par l’agence de développement spatial sont recréées par le biais de plusieurs processus et deviennent si belles et fascinantes. Cependant, si cela suffit à créer une vague illusion de l’univers, il y a pourtant le risque qu’elle se fige en une sorte d’image fixe de l’univers (l’image de l’univers vue dans l’observation réelle n’est pas claire, mais elle donne très forte impression).
Dans son livre Cosmos 1. Carl Sagan dit : « Les humains et l’univers sont connectés dans le sens le plus fondamental. » Pour y parvenir, l’artiste développe son travail à partir de découvertes à travers la géographie, les documents historiques, les phénomènes naturels et l’expérience personnelle. Il projette l’univers en se laissant submerger par l’expansion de l’univers dans les nuages créés par les fumées émises par la centrale nucléaire 2. et par l’espace-temps qui traverse le passé lointain et le présent à travers le calcaire cristallisé 3. Ce mouvement de pensée traverse la réalité et le monde microscopique intérieur, menant finalement à des questions sur nos origines. En fin de compte, l’exploration de l’univers consiste à comprendre les fondamentaux de l’humanité, et comme le disait Carl Sagan, non seulement tous les événements majeurs de l’humanité mais aussi les événements petits et insignifiants sont enracinés dans l’origine de l’univers qui nous entoure.
1. Carl Sagan, Cosmos, États-Unis, Random House, 1980
2. Daeseok AN, Univers lointain, 2022
3. Daeseok AN, Cronoscope, 2023
mes recherches commencent par une petite découverte et présent une perspective macroscopique, créant un contraste entre l’infinimen lointain et le proche. »
Daeseok An développe un environnement plastique complexe et poétiqu inspiré par les recherches scientifiques et cosmologique.
Il interroge l’origine de l’univers et les lois qui le régissent et dessin une trajectoire pour trouver un lien entre les humains et leurs origines avec le regard d’un enfant chassant la voûte étoilée.
Son principal intérêt réside dans la combinaison de cette perspective cosmique avec l’expérience personnelle et l’imagination pour crée des histoires tridimensionnelles et multicouches.
Sa démarche s’apparente au processus de création de la science-fiction.
Ce qui est intéressant dans la science-fiction, c’est qu’elle reflète complexe par le biais de l’imagination.
Cependant, parfois, dans l’environnement particulier du mond microscopique ou dans l’immensité de l’univers, les concepts physiques qui transcendent le temps, l’espace et les dimensions semblent très irréalistes.
En conséquence, un sentiment de décalage naît de la vague frontière entre réalité et irréalité. L’artiste estime que ce sentiment de décalage donne naissance à des émotions poétiques complexes.
Pour illustrer cette perspective, l’artiste utilise un équipement optique comme matériau pour des tirages photographiques ou des projections d’images.
La lentille devient un médium qui nous relie au monde microscopique, créant un contraste entre ce qui est infiniment lointain et ce qui est proche.
Lors de l’observation d’objets astronomiques, l’artiste considère l’expérience momentanée de connexion personnelle avec l’univers plus importante que la découverte de beaux corps célestes.
Les images actuellement produites par l’agence de développement spatial sont recréées par le biais de plusieurs processus et deviennent si belles et fascinantes. Cependant, si cela suffit à créer une vague illusion de l’univers, il y a pourtant le risque qu’elle se fige en une sorte d’image fixe de l’univers (l’image de l’univers vue dans l’observation réelle n’est pas claire, mais elle donne très forte impression).
Dans son livre Cosmos 1. Carl Sagan dit : « Les humains et l’univers sont connectés dans le sens le plus fondamental. » Pour y parvenir, l’artiste développe son travail à partir de découvertes à travers la géographie, les documents historiques, les phénomènes naturels et l’expérience personnelle. Il projette l’univers en se laissant submerger par l’expansion de l’univers dans les nuages créés par les fumées émises par la centrale nucléaire 2. et par l’espace-temps qui traverse le passé lointain et le présent à travers le calcaire cristallisé 3. Ce mouvement de pensée traverse la réalité et le monde microscopique intérieur, menant finalement à des questions sur nos origines. En fin de compte, l’exploration de l’univers consiste à comprendre les fondamentaux de l’humanité, et comme le disait Carl Sagan, non seulement tous les événements majeurs de l’humanité mais aussi les événements petits et insignifiants sont enracinés dans l’origine de l’univers qui nous entoure.
1. Carl Sagan, Cosmos, États-Unis, Random House, 1980
2. Daeseok AN, Univers lointain, 2022
3. Daeseok AN, Cronoscope, 2023
︎ ︎
Vit et travaille à Metz, FR.
FORMATION ET DIPLÔMES
2021 - 2023
DNSEP (option COM) avec félicitations des jurys / École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, FR.
2019 - 2021
DNA (option COM) avec félicitations des jurys / École Supérieure d’Art de Lorraine, Metz, FR.
2018 - 2019
DNA (option ART) / L’école supérieure d’art d’Aix-en-Provence, Aix-en-Provence, FR.
EXPOSITION PERSONNELLE
2022
Univers Lointain / Octave Cowbell, Metz, FR.
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2023
L’accumulation des coins privés et serrés me fait venir ici / La Réserve, Bordeaux, FR.
Est-ce que nous nous sommes déjà rencontrés ? / Phare Citadelle, Strasbourg, FR.
Carte de visite / Galerie de l’ÉSAL, FR.
PÉTRICHOR / CACLB, Étalle, BE.
2022
Creartathon / Le BIS-ENSCi, Paris, FR.
La nuit remue / Site de la Heidenkirche, Butten, FR
Pangée / Jardin botanique, Metz, FR.
Particule / Puzzle, Thionville, FR.
2021
BLX / Porte des Allemands, Metz, FR.
PARTICIPATION
2023
Makerland / Bliiida, Metz, FR.
RESIDENCE
2023
JEUNES ESTIVANTS / Bout d’essais (2mois), Metz, FR.
PUBLICATION
Cocosmos, édition des 20 ans d'Octave Cowbell, Metz, 2023.
© Daeseok An 2023
daesuk.an@gmail.com
www.daeseokan.com / @daeseok_an
+33 7 68 60 39 48